
16jours d’activisme: Protection des jeunes filles travaillants dans les mines
1. Présentation du centre olame
* Qui sommes-nous ?
Nous sommes le Centre OLAME, structure de l’Archidiocèse de Bukavu travaillant pour la promotion intégrale des femmes, des jeunes filles ainsi que de leurs ménages.
* Objectifs du Centre Olame
De manière globale, l’objectif du centre Olame est de contribuer à la promotion intégrale des femmes et des jeunes filles ainsi que de leurs familles et ménages.
* La vision du Centre Olame
Le Centre OLAME se veut être un espace d’impulsion des communautés socialement et économiquement stable dans une RDCongo où règnent la paix et la sécurité, où les femmes et les hommes sont libérés des pesanteurs culturelles et participent ensemble à la gestion de la chose publique.
* La mission du Centre Olame
Le Centre OLAME œuvre pour la promotion intégrale des femmes et des jeunes filles en province du Sud-Kivu, en appuyant les initiatives pour l’autopromotion socio-économique, culturelle et politique, en assurant la protection et la prévention des violences basées sur le genre afin que les femmes et les hommes participent à leur développement durable.
2.Différents abus auxquels les filles sont exposées dans les carrées miniers
Dans les carrés miniers les filles sont confortées à plusieurs défis qui influencent la vie et qui expose à plusieurs conséquences, elles sont soumises aux travaux forcé et lourds très mal rémunérés (les filles sont plus employées pour transporter l’eau, le sables, les pierres les produits chimiques, la préparation de la nourriture), elles sont abusées par la sur exploitation sexuelle (au-delà de ce qu’elle doit faire comme travail ont l’exige aussi le sexe par certains employeurs surtout dans les restaurants par exemple a luhihi nous avons enregistré un cas du fille de 14 ans kidnappe depuis mwenga par le propriétaire du restaurant. Elle serve la nourriture et son corps aux clients hommes avec ou sans préservatifs selon les tarifs établis par la dame propriétaire du restaurant. Elle n’avait pas le droit de quitte les restaurants ni le droit de refuser la proposition d’un draguer ou d’être payé pour son travail)
3. Conséquences
* Suicide
* Rejet par la communauté
* Avortement en répétitions par les jeunes filles
* Plusieurs cas des contaminations des HIV et hépatite b et autre maladie respiratoire et problèmes des poumons dans les milieux
* Mal nutritions des plusieurs enfants dans les sites
* Taux d’an alphabétisation élevé parce que plusieurs jeunes préfèrent aller dans les sites miniers à la rechercher du bonheur et perdre leurs temps à l’école
* Mariages précoces etc
4.Cause de la présence des filles dans les mines
Plusieurs causes sont à la base de la présence des filles Dans les carres minières au Sud Kivu, au cours de nos investigation nous avions remarqué que les filles vont dans les mines parce qu’il n’y a plus une prise en charge adéquate dans les familles soit par la perte des parents ou tuteurs ou tout simplement l’irresponsabilité’ des parents,la pauvreté extrême des milieux ruraux(la pauvrete’ extreme des plusiers menages qu sud-kivu) ; délinquances juvéniles ; la présence des sites dans le village (seule occupation du milieu) ; irresponsabilité des parents (un parent qui ne répond pas aux besoins de la famille, un parent qui envoie sa fille dans les carrés miniers pour rechercher de quoi vivre) ; Non-respect du cadre règlementaire sur l’exploitation minière par les exploitants
5. Ce que fait le Centre Olame dans le cadre de la protection des filles travaillant dans les mines
Depuis 2021 avec l’appui financier de Caritas australis à travers CAFOD le Centre Olame travail sur le projet de protection des jeunes et filles dont l’âge varie entre 14 et 22 ans pour les jeunes filles et enfants filles et garçons pour les enfants de 6 à 13 ans, jusqu’à présent, 300 jeunes filles ont été formées sur l’entrepreneuriat, l’éducation financière, l’élaboration du business-plan et l’accessibilité au marché. Pour stimuler et outiller les jeunes filles pour développer des activités entrepreneuriales durables et rentables. Il est question pour elles de mettre en pratique les connaissances et les compétences acquises suivant les domaines de formation pour créer des activités génératrices des revenus innovantes et adaptées à leurs marchés respectifs. Elles ont aussi reçu un appui économique et des kits de réinsertions pour leur permettre de mettre en pratique les connaissances acquises et booster leurs revenues enfin de diminuer leurs fréquentations dans les sites ou elles sont abusées et exploite
371 filles sont inscrites dans les écoles normales dans les villages pour poursuivre le cursus normal de formation scolaire .
Le Centre OLAME œuvre pour la promotion intégrale des femmes et des jeunes filles, en appuyant les initiatives pour l’autopromotion socio-économique, culturelle et politique, en assurant la protection et la prévention des violences basées sur le genre afin que les femmes et les hommes participent à leur développement durable de ce qui précède 800 parents dans quartes site (Mubumbano, Mulamba, Nyabibwe et Luhihi) dont 85% sont des femmes bénéficient de l’accompagnement quotidien du Centre Olame par la prise en charge psychologiques, des formations, des soutiens aux activités génératrice de revenu (activités agricole, commerces, entreprenariat) ; ils sont regroupés dans des groupes de 25 pour les activités CECI pour renforcer les capacités financières des ménages et ainsi préparer la prise en charge des enfants par leurs parent même sens le centre Olame enfin de limiter les abus que font face les femmes dans les milieux ruraux et dans les ménage en général
Le centre Olame travail avec les organisation a base communautaire pour continuer à sensibiliser et à dénoncer concernant les problèmes auxquels les femmes et filles rencontres dans leurs milieu de vie ou professionnel, c’est dans optique que né le groupe de surveillance communautaire composé par la police de mine, les représentant des parents ; les autorités, les représentants des Église, la jeunesse, les relais communautaires